Investir dans l’immobilier pour le mettre en location demeure une tendance, pas seulement pour ses avantages fiscaux, mais surtout pour assurer ses vieux jours. Toutefois, comme tout investissement, la location comporte des risques. Il ne faut pas attendre d’être déjà partie prenante dans le contrat de bail pour se préoccuper des mesures à prendre pour s'en prémunir.
Sécuriser son investissement locatif par la signature d’un bail
Investir dans la location de logement est un excellent projet. Seulement, il restera au stade de projet si le bien ne trouve pas de locataire. La vacance locative ou le vide locatif est en effet un des risques de la location. D'ailleurs, cette absence de locataire peut augmenter les charges du propriétaire (fiscalité, remboursement du prêt bancaire, entretien…). Cependant, un tel scénario peut être évité. Pour cela, il faut d’abord repérer le bon endroit pour mettre son logement en location. Les logements près du centre-ville ou qui ne s’en écartent pas trop sont très demandés. De même, pourquoi ne pas investir dans le logement étudiant ? Ce genre de logement trouvera toujours facilement preneur près des campus universitaires.
Une fois la localisation du logement repérée, il faut ensuite penser au prix du loyer. Celui-ci doit correspondre aux prix pratiqués dans le secteur. Enfin, pour faciliter au maximum les recherches, il existe des plateformes de réservation de logement en ligne comme Studapart qui sont totalement gratuites pour les propriétaires, et les accompagnent tout au long du processus de la location. Pour les intéressés, campuswiki.fr propose de plus amples informations concernant la plateforme Studapart.
Sécuriser son loyer par des garanties loyers impayés
Un locataire mauvais payeur est toujours source de perte financière. C’est pourquoi il est important de bien choisir celui qui occupera son logement. Aussi, le dossier, que doit constituer le bailleur avant la signature du bail, est toujours primordial. Les pièces composant ce dossier sont énumérées par le décret n° 2015-1437 du 5 novembre 2015 fixant la liste des pièces justificatives pouvant être demandées au candidat à la location et à sa caution. Il appartiendra ensuite au propriétaire de vérifier la véracité du contenu du dossier. Ce dernier va permettre au loueur d’apprécier la solvabilité de son futur locataire et ainsi se rassurer quant à la régularité du paiement du loyer.
Toutefois, face à l’aléa de la vie, utiliser des garanties loyers ne sera jamais de trop. Il existe entre autres le cautionnement visale prise en charge par l’Etat qui couvre jusqu’à 36 mois de loyers impayés ainsi que l’assurance des loyers impayés, auxquels le propriétaire peut souscrire. Mais pour vivre une expérience locative simplifiée, sécurisée et optimisée, pourquoi ne pas opter pour les plateformes de réservation en ligne comme Studapart qui offrent aussi une garantie contre les loyers impayés ? Cette start-up propose notamment pour chaque Studapart propriétaire une option « garantie Studapart ». Celle-ci couvre jusqu’à 96000 euros de loyers impayés. Cette solution simplifiera les démarches administratives du loueur.
Sécuriser le logement contre les dégradations mobilières et immobilières
Les dégradations mobilières et immobilières, qui peuvent survenir au cours de la location, peuvent diminuer la valeur locative du bien et tout simplement la valeur du bien sur le marché de l’immobilier. Heureusement, pour se couvrir contre ce risque, le locataire a l’obligation de souscrire une assurance habitation qui couvre au minimum contre les incendies, les dégâts des eaux et les explosions. Cela sous peine de voir son contrat résilier par le bailleur. Toutefois, celui-ci peut aussi, en cas de carence du locataire, souscrire cette assurance à sa place et puis se faire rembourser. Le Studapart propriétaire, lui, bénéficie en plus de cette obligation du locataire de la « garantie Studapart », qui rembourse jusqu’à 3000 euros de dégradations.